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Si la société veut vivre mieux, elle doit donner naissance l'Homme Nouveau, mais il faut un changement substantiel du caractère humain, c'est-à-dire du passage de prépondérance, c'est-à-dire une majeure force ou importance de la modalité de l'avoir, dans la forme la plus égoïste du mot, à la modalité de l'être, pour nous sauver de la catastrophe psychologique et économique, pour le bien commun, il faut se demander:
Est-elle vraiment possible une transformation caractérielle à grande échelle?
Et dans le cas où elle serait possible nous nous demandons, comment faire pour la produire?
Voilà qu'il vient nous aider même le Prophétisme à grande échelle sur le réseau, pour permettre à plusieurs personnes de reconnaitre ce qu'il faut faire.
À mon avis, le caractère humain, si l'on veut faire développer la composante sociale de masse, peut changer s'il y a les conditions suivantes.
Les points principaux sont quatre,
- premier : qu'on soit conscients (prise de conscience) de l'état de souffrance dans lequel l'humanité égoïste vit;
- deuxième : qu'on reconnaisse l'origine de notre malaise et de celui des autres;
- troisième : que sincèrement l'on admette qu'il existe une manière (au moins il est possible de le faire) pour dépasser le malaise lui-même;
- quatrième : que l'on accepte de manière pleine et totale l'idée que, pour dépasser notre malaise, notre peine, surtout dans trop d'inégalités sociales, on doit nous approprier de certaines idéologies et de certaines règles de vie et changer la façon de vivre actuelle.
Je n'ai rien inventé, ces quatre points correspondent aux Quatre Nobles Vérités de l'enseignement du Bouddha, ils en sont les piliers sur lesquels cette doctrine se base, relatives aux conditions de l'existence humaine, seulement sur des cas spécifiques de malaise humain, dus à des circonstances particulières individuelles ou sociales, ne sont-ils pas appliqués?
Mais venons plus près de nous, le même principe, est sous-entendu même à l’idée marxiste de salut.
Pour l'appliquer à comprendre pleinement, on doit se rendre compte que pour Marx, comme lui-même l'a dit, le communisme, loin d'être un but définitif, était une marche du développement historiquement destinée à libérer les êtres humains des conditionnements socioéconomiques et politiques qui nous rendent très loin d'être des humains (dans le terme étendu du symbolisme), c'est-à dire des prisonniers, des esclaves volontaires de choses, de machines et de notre même soif de possession.
La pensée et la tâche de Marx proposaient de révéler à la classe travailleuse, son aliène et misérable catégorie sociale, qui se trouvait dans un était effectif de souffrance ; son tentative était visée à détruire les illusions qui avaient pour effet celui d'assombrir, de masquer, dans les travailleurs, la conscience de leur misère et pauvreté.
Pour L’Homme Nouveau il faut une nouvelle societé qui fonctionne pour tous, et encourager le lever d'un homme, dont la structure caractérielle et psychologique ait:
Sûreté, sentiment d'identité et confiance, fondée sur la foi dans ce que l'on est (dans le bien possiblement sur la base de la personnalité et prédisposition), dans son propre besoin de rapports, intérêts, amour, solidarité avec le monde environnant, plutôt que sur son propre désir de commander et être des despotes, de contrôler le monde, plutôt que le vivre, en devenant ainsi un esclave de ses propres intérêts.
Être vraiment présents et solidaires dans le lieu où l'on se trouve, toujours!!