Nous voilà! Tous les hommes modernes sont exposés à cette tentation!
Je dis que si cela doit être bénéfique, il doit être connecté à un but autre que celui d'une puissance pure et simple.
Il faut également savoir qu'il y a une autre condition que l'amour du pouvoir doit se rencontrer s'il veut être bénéfique, il doit se connecter à un but avec les souhaits des personnes qui subissent les effets de ce but, de plus les moyens de les atteindre Les buts ne devraient pas avoir d'effets secondaires en nombres aussi importants pour compenser la bonté des fins.
Comme la convoitise est assez forte pour influer sur les actions des hommes, plus d'un peut penser.
L'éthique du pouvoir dépend des formes d'amour que l'on a pour elle et pour le tempérament de chaque homme, la morale du pouvoir ne doit pas être divisée en légitimes et les autres comme illégitimes.
Cette morale a deux aspects, au moins depuis le temps des prophètes hébraïques en avant; D'une part, l'institution sociale, d'autre part une question de conscience individuelle, la morale positive est plus ancienne que la personne personnelle, et peut-être plus ancienne que la loi elle-même et le gouvernement.
L'exemple le plus évident de l'alliance entre le pouvoir éthique et le pouvoir moral est l'imposition de l'obéissance: les enfants ont eu le devoir d'obéir à leurs parents, la femme au mari, les serviteurs aux maîtres, les sujets aux principes, les laquais aux politiciens, etc. .
Répondez à cette question: existe-t-il une doctrine éthique concernant le pouvoir?
Si la vie sociale doit satisfaire les désirs sociaux, elle se fondra sur une philosophie qui ne provient pas de l'amour du pouvoir.
Une réflexion
Allons faire une distinction sur le plan conceptuel entre la loi - le pouvoir de l'État: l'État fonde sa pratique en matière de pénalités, sur les inégalités de classe, alors que la loi fonde sa pratique sur le consentement, c'est-à-dire la raison pour laquelle il réduit les privilèges de classe, c'est-à-dire Sur la défense de plus faible par le plus fort.
L'État n'est pas ce que l'on voudrait, mais c'est ce qui est devenu dans l'histoire, avec ses «corps distincts».
La loi (écrite ou non écrite) est la structure d'état non identifiée, en effet, leur genèse est antithétique.
L'Etat saisit la lettre de la loi pour codifier les inégalités.
L'état comme expression actuelle de privilège; L'expression de loi de la liberté et du tueur de tous les privilèges de classe, à la lumière du monde des prophètes.