Si tu veux trouver ta voie, tu devras d'abord savoir quel est le sens de la vie, et comprendre comment l'on peut se réaliser dans celle-ci.

Principalement il y a trois formes de réalisation humaine : celle de l'occupation, celle de la sphère sociale et celle de la sphère sexuelle.

Je laisse de côté les deux premières pour analyser avec vous le problème existentiel à travers la socialisation ; chaque être humain révèle de façon infaillible quel est son propre sens de la vie.

Si vous regardez à l'intérieur de vous-mêmes vous comprendrez qu'une bonne solution des problèmes de la vie est celui de toujours ouvrir la porte aux autres et dans le mot "autres" nous y sommes nous aussi.

Vous me demanderez : "Quelle est ta réalité sur le sens de la vie ?"

Je ne vous répondrai pas de manière rhétorique, au contraire, je vous révélerai une technique qui ne sera pas intellectuelle et même pas philosophique, nous ne nous occupons pas de problèmes et d'enquêtes intellectuelles, je ne m'occupe pas du pourquoi des choses : je m'occupe de comment, pas de ce que c'est la vérité pour la réalisation de la vie, mais de comment elle peut être rejointe et réalisée.

Il y a des hommes qui ont compris cela, lesquels connaissaient le sens de la vie, et il est celui de s'intéresser à l'humanité en cherchant de développer des engagements sociaux.

Dans toutes les religions nous trouvons des sollicitudes pour le salut de l'homme, tous les grands mouvements sociaux et politiques luttent pour augmenter l'engagement social : la religion et la politique  représentent les tentatives les plus importantes pour réaliser cela, affronter un problème intellectuel ou psychologique est très facile, mais affronter un problème existentiel, pas seulement en y réfléchissant , mais en le vivant complètement, en le traversant, je vous le dis avec sincérité mes amis, c'est difficile : et pour l'individu et pour les religions et la politique, celles-ci ont été souvent, trop souvent, mal interprétées, si des éclairages prophétiques ne se produisent pas, de cette façon elles peuvent faire plus de ce qu'elles font dejà, on doit s'engager  plus profondément avec de la vérité pour la réalisation de cette tâche  commune.

Nous ne sommes pas les seuls membres de la race humaine qui vivent en société ; l'être humain individuel est faible et limité, s'il reste isolé il est impossible pour lui de poursuivre les buts qu'il se préfixe.

Si l'homme vivait tout seul et cherchait à affronter tout seul ses problèmes il périrait, il ne serait pas capable de continuer sa vie, ni de faire continuer la vie du genre humain qui est lié aux autres pour la faiblesse de ses limites, le pas le plus important pour le bien-être de tous est celui de se mettre en coopérations avec les autres frères, voilà la bataille la plus ancienne de l'humanité: permettre que les hommes s'associent, car c’est à travers l'intérêt pour nos semblables que l'on a accompli tous les grands progrès de votre race humaine.

Chacun a sa propre tâche, ce qui signifie, que chacun de nous doit prendre ses responsabilités en résolvant les problèmes sociaux avec de l'Ésprit de coopération ; personne n'est plus en haut, personne n'est plus en bas dans la nouvelle hiérarchie politique prophétique, chacun porte son propre sens de la vie en le transmettant.

Tout ce que l'on demande à un être humain c'est le plus grand éloge que l'on pourrait lui attribuer, qu'il soit un bon travailleur, un vrai partisane de paix, un constructeur d'amour, un ami pour tous les hommes.

Dans un mot, je peux dire qu'il doit démontrer qu'il est un bon homme, un vrai homme.

Le sentiment qui constitue la source psychologique du pouvoir et de la tradition dans son apparence obséquieuse pour les Rois, les prêtres, les chefs de parti sont: la peur et l'ambition personnelle qui sont le pouvoir.

Le pouvoir des organisations par lesquelles s'exerce le pouvoir, en les considérant d'abord comme des corps dotés d'une vie propre à l'égard des formes de gouvernement et enfin de la vie des individus.

Il existe une biologie sur les organisations pour le fait qu'une organisation a une vie à elle seule et la tendance à grandir et à mourir.

Il existe une analogie entre les animaux et les plantes et peut être considéré d'un point de vue darwinien: toutes les espèces humaines ont tendance à s'accumuler et à organiser, les hommes dans les organisations sociales. Le pouvoir dépend de l'Organisation, ce qui devient puissant par sa propagation, voyons: l'église, le parti politique et Internet ont donné le pouvoir à une Isis mondialisée, qui n'a pas de véritable chef à moins que le réseau et sa propagation mondiale d'un message destructeur; Pourquoi ne pas construire un modèle constructif?

C'est ce qui conduit ces messages!

Une organisation est un ensemble de personnes (ou forme de pensée) recueillies dans différentes parties du monde, dans une série d'activités à des fins publiques. Il peut être volontaire, en cercle; Un groupe biologique, en tant que famille ou tribu, ou obligatoire en tant qu'État.

Le but de l'organisation peut être explicite ou caché (Isis), militaire ou politique, mais pour sa nature et son but: économique ou religieux, il implique une redistribution du pouvoir, il existe généralement un gouvernement interne qui prend des décisions au nom de l'ensemble du groupe Et a des pouvoirs supérieurs à ceux des membres individuels.

Au fur et à mesure que les hommes deviennent plus civilisés et la technique plus complexe et plus globalisée, les avantages deviennent plus évidents, mais les organisations impliquent le renoncement à l'indépendance, elles augmentent le pouvoir sur les autres, mais aussi celle de l'autre sur nous.

Nous savons combien les mots importants sont, dans le nom sacré, dans le son primordial, cacheront le pouvoir de l'être et sa création possible.

Cela signifie qu'il y aurait des mots qui créent, il existe des images sonores, qui créent sous certaines conditions.

Permettez-moi donc d'évoquer le mot Paix, dans une langue considérée comme sacrée: Shalom, la paix, dérive du verbe Shalem qui peut être traduit par "être complet".

Le mot Paix évoque l'unité dans l'intégralité, c'est-à-dire l'union de l'amour qui est totalité sans frontières; Il évoque le temps de l'achèvement du travail, qui est le temps de joie et d'extase.

La paix évoque la vision de l'âme du monde entier avec l'unité de toute vie. Le verbe: Shalem, partagé avec une autre langue sacrée, le Coran, évoque la force et la loi du cercle, source de toutes les formes, où il n'y a pas ceux qui valent plus ou ceux qui valent moins, ceux qui en ont plus et ceux Qui ont moins; Dans le cercle, il n'y a pas de lieux de proéminence et de lieux de moindre valeur, cela est également valable pour le concept de paix.

Tous les points du cercle ont la même valeur que le centre et tous apparaissent exactement de la même manière que le centre et sont également évalués.

Le cercle reflète l'équilibre, le pacte d'égalité, il évoque l'amitié sans aucun enregistrement, c'est-à-dire en mots simples, il évoque la PAIX, où l'aspect spirituel et matériel se mêle harmonieusement, où l'on ne prévaut pas sur l'autre et vice versa.

Il convient également de noter que dans les langues anciennes, il n'y avait aucune opposition entre les noms abstraits et concrets, tels que les noms dans nos langues modernes qui ont perdu la nature sacrée du mot.

La paix ne signifie pas seulement spirituellement, mais aussi signifie travailler concrètement: donner du bien, honorer la matière dans l'univers parce qu'il n'y a pas de division entre le corps et l'âme, l'égalité entre les peuples, l'égalité entre les individus, il n'y a pas de subordination d'un parti au cours de la Autrement au détriment de l'être entier.

Le mot PEACE signifie donner des moyens concrets, des biens mondains, un développement sans entrave; Avec la faim dans le corps est difficile d'apprécier une fleur. Il faut aussi dire que si l'on est nourri et n'apprécie pas la «fleur» et ne participe pas à la douleur des autres, il est brutal, pas digne de paix, la paix doit être complète avec tout ce qu'elle implique.

Prise de conscience - L'Amour de la Peur

La relation entre «pauvres riches»; «Serviteur-maître» divise tout, il divise en particulier les consciences de ceux qui s'intéressent à la destruction de cette relation.

La sagesse prophétique biblique exprime cette situation de manière appropriée: «Dans un état d'oppression, même un sage devient un imbécile» (Ecclésiaste 6-7), c'est avant tout la peur qui plie les consciences les plus fortes ...

Considérons comment, dans l'âme humaine enchevêtrée, la semence du domaine, le désir de posséder, et surtout le contrôle, mais aussi être détenue ou contrôlée par un grand Lord (droit du Seigneur) a toujours été semé profondément dans l'humanité, sinon Le système de domaine, qui travaille sur Terre depuis un certain temps, serait déraciné.

Le pouvoir, mais surtout la religion (nous voyons les résultats aujourd'hui, plus que jamais), étaient des enseignants dans l'enseignement et l'incitation des gens, des humains, à l'amour de la peur: le plaisir de faire peur et de se faire peur.

Ils ont été maîtres dans la synthèse des moments du domaine: celui du consentement et; En jouant maintenant sur l'autre maintenant selon les circonstances de «carotte et bâton», «claque et caresse».

De plus, l'éducation pour accepter la douleur (même dans le travail sévère) crée une douleur psychologique (peur de se faire licencier) et de refuser le plaisir, trouve sa réalisation dans des comportements, un conditionnement maigre pour un salaire ou une pension insuffisants.

Ils veillent à ce que l'envie du plaisir entraîne une douleur (voir qui se suicide en tuant des personnes sans défense), que le plaisir est associé à la douleur et vice versa; De peur du plaisir et du plaisir de la douleur;

De sorte que tout est renversé et l'idéal du sacrifice et de la douleur passe à l'honneur et à l'éloge des classes exploitantes, des ennemis de la joie et de l'amour pour la vie.

Dans la langue italienne, cette façon d'approcher la vie est bien illustrée; Examinons ceci: pénalité = pénis; Foul = fail; Erreur = errance; Sujet = crainte; Mind = lie; Passion = passions; Père = maître.

Il est possible de voir ce mécanisme pervers qui tue le «enfant» partout où il trouve: «prenez ce beau gâteau, voyez comment il est invitant!» Mais pendant que vous, enfant, essayez de le saisir, une décharge électrique (peur) paralyse La main (la volonté).

Une ordonnance, une terrible obligation te raffine la main; Vous répéterez l'invitation, sous différentes formes, un nombre infini de fois, jusqu'à ce que vous vous habituiez à associer le plaisir à la douleur.